Résidence à Bocs Art en Calabre

La  cueilleuse
Installation à partir du poème de Garcia Lorca "Arbolé, arbolé"

© cécile hug

© cécile hug

© cécile hug

© cécile hug

© cécile hug

© cécile hug

BLASON DU CORPS, à la Galerie de la Voûte





© cécile hug

© cécile hug

© cécile hug

© cécile hug

© cécile hug




avec Paul-Armand Gette © Turid 




avec Virginie Megglé et Zoé Balthus © céline Paul

L'apothéose des fraises, une célébration de Paul-Armand Gette

Au Musée d'Art moderne de la Ville de Paris


© céline du chéné

© jean jacques le berre

Arles contemporain

Exposition "Entre deux" avec la Galerie Joseph Antonin
Commissaire d'exposition : Clémentine Feuillet




© claude chuzel

littérature mineure & les éditions derrière la salle de bains

Exposition VisuElles

Au Centre d'Art Contemporain Chabram2 de Touzac
Commissaires d'exposition : Philippe-Joseph Bachet et Marie Line Daudin


© cécile hug

© cécile hug

© cécile hug

© cécile hug

"Les oreilles et les tétons de Cécile Hug, artiste pétillante et singulière qui plonge dans l'intimité du corps".

Art up 2017 avec la Galerie Anne Perré

© Anne Perré Galerie

© Anne Perré Galerie

Immersions sensibles

Exposition au Palais de l'Archevêché, Arles
Avec la Galerie Joseph Antonin
Commissaire d'exposition : Clémentine Feuillet




Cécile Hug (France) : Plasticienne, Cécile Hug articule le dessin à la sculpture, en créant des assemblages délicats qui renvoient à une ciselure contemplative du corps humain, du champ intime, tout autant qu’à la psyché et l’inconscient. Au travers de cette démarche méticuleuse, pensée avec le poids et la finesse de la main, constituée d’éléments sensibles et abstraits, de détails physiques et d’épure, elle crée un dialogue esthétique riche de sens, tout en subtilité et dépouillement, qui réconcilie minimalisme et élégance de la forme, conceptualisme et expérience d’une plénitude du visible, affirmant sa sensualité. La série sur l’ouïe, dont nous présentons un extrait, résume cet intérêt pour la science et le naturalisme dans une perspective poétique et onirique, à hauteur du regard d’enfant, émerveillé devant la diversité et la beauté de la nature. L’oreille, appendice vital du corps humain, organe sensoriel et perceptif, devient surface de coloration, source de curiosité et d’expérimentation, cavité mystérieuse, morceau choisi, augmentant le plaisir cognitif, le frémissement visuel au gré d’une palette de variations. Dans ce travail, Cécile Hug nous renvoie au présent de l’instant et de la recollection sensible du « soi à soi », du « nous au nous », sans médiation autre que le truchement de ce modèle réduit de corps, ce fétiche de petite oreille moulée dans l’argile, cette offrande et ce leurre qui nous parlent tout à coup directement de mutisme à empathie, de silence à écoute, de proche à étranger, de curiosité à inconnu, de coupure à lien, de bout à bout, de tristesse à empathie, de vulnérabilité à tendresse, de ouïe à « oui »…


                                                Clémentine Feuillet
Commissaire d’exposition